Dans un village perdu au cœur d’une forêt dense, où les chemins n’étaient que des allées battus par les sabots des chevaux et les pas des laboureurs, une masculinité vivait en retrait, à l’orée des panier. Sa domicile, bâtie en pierre et de bois noir, exhalait très une odeur d’herbes https://jolie-voyance53196.onzeblog.com/33585963/la-nuit-des-restes-et-de-la-voyance