La journée étendait son rideau sur la cité, dissimulant les contours des bâtiments par-dessous un drap d’obscurité mouvante. Dans un appartement exigu, placé au dernier étage d’un immeuble fatigué, Lazare observait le téléphone posé sur la table. Il n’était ni classique ni traditionnel, un dégagé matériel aux touches effacées par https://jasperzdfij.blognody.com/35121411/les-résonances-du-silence-de-la-voyance-par-téléphone-audiotel-par-jolie-voyance