Le vent hurlait par les hautes bron de l’abbaye, s’engouffrant dans les couloirs de pierre où résonnaient les échos lointains des chants grégoriens. Dans la petite foule de rencontre, un moine s’éclairait à la lumiere vacillante d’une chandelle. La ressources était emplie de l’odeur du parchemin ancien et de l’encre https://stephenaazxu.blogofchange.com/34395264/le-manuscrit-des-âmes-errantes