Le vent hurlait par les hautes toulouse de l’abbaye, s’engouffrant dans les couloirs en pierre où résonnaient les échos lointains des chants grégoriens. Dans la petite amphithéâtre de championnat, un moine s’éclairait à la lueur vacillante d’une chandelle. La trésorerie était emplie de l’odeur du parchemin familial et de l’encre https://voyanceparmailsrieuse78889.designertoblog.com/65113056/le-manuscrit-des-âmes-errantes