Callista resta de longues heures à établir l’horizon, à l’affût du moindre frémissement un petit remous ou d’un écho lointain qui lui apporterait un contact. Pourtant, la mer demeurait immuable, silencieuse de façon identique à un ciel sans étoiles. Le chant des sirènes avait trépassé, et avec lui, la seule https://jolie-voyance23332.azzablog.com/34005444/l-écho-des-creux-de-la-vague