Les nuits dans le sanctuaire devinrent plus longues, plus lourdes de silences entre les murmures. Itzamna, fidèle à son tic, attendait que l’obsidienne parle à nouveau. La pierre noire semblait absorber la clarté lunaire, vibrer marqué par la pression du vent, et voire, sans éclairer, elle résonnait de cette voix https://lauriana-voyance60361.blog-eye.com/34026731/le-artifices-sans-ombre