Dans les ruelles d’Istanbul, au cœur du bazar animé, un marchand du pseudonyme d’Orhan découvrit quoi que ce soit unique parmi ses modernes acquisitions. Il s’agissait d’un coffret en fin, noyer et précieusement buriné, décoré d'ornements indéchiffrables qui semblaient danser par-dessous l'éclairage des lampes à huile. Aucun souvenir de l’avoir https://elliotqpgwn.blogars.com/32774115/l-éclipse-des-chroniques