En 2042, au cœur du Togo, la saison sèche persistait, déposant sa poussière rouge sur les pentes du mont Kéran. Au pied de ce massif, la botaniste Maëlys Deren poursuivait des recherches sur une flore encore affliction répertoriée. C’est au biais d’une piste farouche, entre deux roches basaltiques, qu’elle découvrit https://zanderecvnc.nizarblog.com/34173696/le-minimum-des-traces